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Correspondance

Lettres de Pierre Erard (1814-1831)

Ces 315 lettres constituent une correspondance remarquable qui commença quand Pierre Erard prit la direction de la maison Erard à Londres en 1814. Les lettres de Pierre Erard à son « bien cher oncle » Sébastien, resté à Paris pour diriger la fabrique d’instruments en France et pour mener sa vie d’inventeur génial, constituent non seulement un journal de la vie musicale londonienne de l’époque, mais donnent aussi un compte-rendu détaillé de l’évolution de la harpe et du piano pendant une phase critique de leurs histoires. L’intégralité de la correspondance de Pierre Erard à Sébastien Erard a été éditée en trois volumes¹.

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1. Mon bien cher oncle : Correspondance de Pierre Erard à Sébastien Erard, 1814-1818, Vol. 1, eds. Laure Barthel et Alain Roudier (Genève : Editions Minkoff, 2006) ; Mon bien cher oncle : Correspondance de Pierre Erard à Sébastien Erard, 1818-1821, Vol. 2, eds. Laure Barthel, Robert Adelson et Alain Roudier (Etobon : Editions Ad Libitum, 2009) ; Mon bien cher oncle : Correspondance de Pierre Erard à Sébastien Erard, 1822-1831, Vol. 3, eds. Laure Barthel, Robert Adelson et Alain Roudier (Etobon : Editions Ad Libitum, 2010).

Correspondance diverse (1816-1842)

Les 477 lettres qui suivent sont adressées à la maison Erard par des marchands, des artistes et des professeurs de musique. Elles sont classées par ordre chronologique.